Idées reçues

Nos métiers en contact direct avec les animaux sauvages soulèvent souvent beaucoup de questions aussi riches que variées et laissent place à de nombreuses idées reçues ou fantasmées ! On y répond !

Idée reçue n°1 "Les enclos des parcs zoologiques sont forcément trop petits pour les animaux !"

Plusieurs études tendent à montrer que l’augmentation de la taille des enclos au-delà d’une certaine limite ne contribue pas sensiblement à l’amélioration du bien-être. Chaque enclos doit, bien sûr, être adapté au nombre d’individus présents et permettre l’expression de comportements naturels, mais il apparait que la complexité de l’environnement et le fait d’apporter régulièrement des stimulations nouvelles constituent quant à eux un réel facteur d’enrichissement de la vie des animaux en parcs zoologiques et contribuent directement à leur bien-être. 

Vaz, J., Narayan, E. J., Kumar, R. D., Thenmozhi, K., Thiyagesan, K., & Baskaran, N. (2017). Prevalence and determinants of stereotypic behaviours and physiological stress among tigers and leopards in Indian zoos. PLoS ONE. Clubb, R., & Mason, G. J. (2007). Natural behavioural biology as a risk factor in carnivore welfare: How analysing species differences could help zoos improve enclosures. Applied Animal Behaviour Science, 102(3–4), 303–328. 

Idée reçue n°2 "Il est nettement préférable d'aller voir les animaux en milieu naturel !"

Les parcs zoologiques sont une fenêtre ouverte sur le monde sauvage dans sa globalité. À Planète Sauvage vous avez la possibilité de découvrir, en une visite, la faune sauvage de 6 continents et d’observer des animaux emblématiques de nombreux biotopes. Cette visite est accompagnée d’un ensemble d’informations sur leur mode de vie et contribue à sensibiliser toujours plus de monde, aux conduites à tenir pour protéger la biodiversité. 

Il est possible également d’aller observer des animaux dans le milieu naturel et, bien que réservé à un public plus restreint, on estime que pour les seuls dauphins, cette activité représente environ 2 milliards de dollars par an. Mais trop souvent, cette activité perturbe les activités naturelles des animaux dans leur milieu de vie (repos, chasse, soins aux petits). 

Planète Sauvage recommande donc une grande prudence avant de partir observer les animaux dans leur milieu naturel et encourage chacun à se renseigner sur les codes de bonne conduite que suivent les organismes proposant ce genre de prestations.

​Idée reçue n°3 : "Les animaux des parcs zoologiques sont prélevés dans le milieu naturel."

Les animaux des parcs zoologiques sont pour la grande majorité nés et élevés en parcs (mais cela peut être différent par exemple dans le cas d’accueil d’animaux saisis ou abandonnés par des particuliers, ou de mesures conservatoires décidées par l’UICN). 

Planète Sauvage participe activement à la collaboration avec les services de l’état (OFB et douanes notamment) et accueille chaque année plusieurs individus saisis, abandonnés ou errants.

Idée reçue n°4 : "Les animaux sauvages ça doit coûter cher !"

Les animaux sauvages hébergés au sein des parcs zoologiques européens font l’objet de dons ou d’échanges entre institutions, comme Planète Sauvage, qui sont reconnues capables de répondre aux besoins des espèces concernées. Il n'y a pas de transactions financières pour éviter d'inciter les trafics divers. 

Il existe une exception pour les animaux domestiques qu’il est interdit de céder gratuitement. Planète Sauvage vend parfois des chèvres nées dans notre mini-ferme. L’intégralité de l’argent ainsi récolté est utilisé pour soutenir les actions de notre association de protection de l’environnement : Planète Sauvage Nature 

Le commerce international des spécimens d’animaux sauvages est régi par la Convention de Washington mise en place en 1975, cette convention a été ratifiée par la France en 1978, ainsi que le règlement Européen (CE 338-97) et plusieurs Arrêtés Français. 

Idée reçue n°5 : "Un animal naît, vie et décède dans le même parc zoologique, il se reproduit sûrement avec des individus de sa "famille" !"

Planète Sauvage permet de découvrir plus de 120 espèces d’animaux sauvages. Certaines, à l’état sauvage, sont très menacées voire ont disparu. C’est pourquoi l’Association Européenne des Zoos et Aquariums (EAZA) organise des programmes de suivi rigoureux des espèces, hébergées dans les parcs animaliers.

Ces programmes suivent les généalogies, assurent un brassage génétique et permettent, si nécessaire, de réintroduire des individus dans le milieu naturel. Pour chaque espèce qui est concernée par ces programmes, un coordinateur planifie et annonce les déplacements à venir.

Les animaux sont donc ainsi amenés à se reproduire avec d’autres individus qui ne partagent pas la même origine, cela permet de conserver une génétique saine, et donc préserver l’espèce.

Il existe des programmes de suivi et d’échange, à l’échelle européenne pour plus de 260 espèces d’animaux, clairement menacées. Environ autant d’espèces, plus ou moins en danger, font l’objet d’un suivi généalogique appuyé. Régulièrement de nouveaux programmes sont organisés pour répondre aux inquiétudes concernant l’état des populations à l’état sauvage.

Pour les individus appartenant à un programme de conservation (EEP/ESB), c’est le coordinateur qui est en charge de l’espèce qui surveille et donne les recommandations. 

Pour les autres espèces, c'est généralement le responsable zoologique et/ou capacitaire de chaque parc qui s'en charge tout en assurant un suivi génétique. Pour cela, chaque parc zoologique dans le monde, travaille avec une base de données (ZIMS) où les informations sur chaque individu sont renseignées (identifications des parents, …).

Idée reçue n°6 : "Les animaux s'attachent à leurs soigneurs et peuvent être tristes quand ils partent dans d'autres structures zoologiques."

De nombreuses observations et expériences montrent que la plupart des animaux sauvages sont capables de reconnaitre leurs soigneurs animaliers. On constate d’ailleurs que, parmi tout ce qui se trouve dans leur environnement direct, les soigneurs sont souvent parmi les favoris. Mais leurs liens sociaux sont, et doivent être, principalement dirigés vers leurs congénères. Il est difficile de savoir s’ils sont attachés à leurs soigneurs. En effet, un animal sauvage n’a pas vocation à entretenir un lien affectif avec les êtres humains - caresser un animal sauvage est plus une source de stress qu’un plaisir pour lui - contrairement à des animaux domestiques chez qui ce trait de caractère a été sélectionné génération après génération.

Par exemple, la réaction d’un chien au retour des humains de la maison (faire la fête) a très rarement son équivalent chez les animaux sauvages. Les soigneurs gardent donc une distance avec les animaux dont ils ont la responsabilité et respectent leur caractère sauvage. Mais une chose est certaine ; les animaliers quant à eux, sont bel et bien très attachés aux animaux dont ils s’occupent au quotidien.

Idée reçue n°7 : "Dans les parcs zoologiques les animaux ne peuvent pas se reproduire "naturellement"..."

La plupart des espèces se reproduisent naturellement en parcs zoologiques. Pour certains animaux menacés où chaque naissance représente une chance pour l’avenir de l’espèce il est possible et parfois nécessaire de recourir à l’insémination artificielle.

Certains parcs créent des banques de sperme pour conserver le patrimoine génétique d’espèce en voie de disparition.

A Planète Sauvage aucune insémination n’a pour l’instant été réalisée. 

Les animaux hébergés à Planète Sauvage présentent des stratégies de reproduction très variées suivant les espèces.

  • Certains, comme le grand Koudou, une antilope africaine, vivent en groupes composés d’un mâle et de nombreuses femelles.
  • D’autres comme le dauphin voient plusieurs mâles s’associer pour courtiser une femelle. Certains, comme le tigre forment des couples le temps de la période de reproduction pour ensuite reprendre une vie solitaire.
  • Les grues couronnées, que vous pouvez admirer sur notre partie piétonne, forment quant à elles des couples à vie.

Les périodes de reproduction varient d’une espèce à l’autre, mais globalement, de nombreuses naissances ont lieu au printemps.

Idée reçue n°8 : "Quand un animal décède, il est enterré dans le parc zoologique."

Lors du décès de l’animal, l’équipe vétérinaire entame une série d’examens pour comprendre les causes du décès de l’animal. Ils sont parfois assistés de vétérinaires spécialisés dans le domaine : les ana-pathologistes. 

Ensuite, les parcs zoologiques, dans le cadre de leurs nombreuses activités de recherche, peuvent donner un spécimen à des muséums régionaux ou nationaux, cela a été le cas plusieurs fois à Planète Sauvage. Ces derniers, possédant en général déjà de grandes collections de squelettes ou d’animaux naturalisés, sont rarement intéressés. D’autres structures (écoles vétérinaires ou unités de recherche) peuvent également faire cette demande. 

Si toutefois, le spécimen décédé n’intéresse pas ces structures, il doit être envoyé à l’équarrissage comme le prévoit la règlementation.

Idée reçue n°9 : "Les dauphins n'ont rien à faire en parcs zoologiques !"

Les dauphins sont des animaux de parcs zoologiques comme les autres. Ils bénéficient de conditions de vie et de soins adaptés à leurs besoins. Leur présence permet à des visiteurs, toujours plus nombreux, d’en apprendre beaucoup sur ces animaux fascinants et sur la fragilité de leur milieu. Chaque jour, nous informons nos visiteurs sur les gestes utiles pour contribuer à préserver le monde des mammifères marins sauvages.

La Cité Marine a également été conçue comme un lieu de découverte et de recherche où des scientifiques du monde entier se relaient, pour apprendre comment les dauphins communiquent, organisent leur vie sociale et comment ils perçoivent leur environnement. Les résultats de ces études sont évalués par la communauté scientifique, publiés et présentés dans des colloques internationaux.

Idée reçue n°10 : "Les dauphins des parcs zoologiques sont prélevés dans le milieu naturel !"

Tous les dauphins de Planète Sauvage sont nés en parcs zoologiques et c’est également le cas en Europe pour plus de 85% des individus. Ils sont tous identifiés par les associations professionnelles et les autorités et font l’objet d’un suivi très poussé quant à leur origine et leur généalogie. Les naissances qui ont lieu chaque année et les projections permettent de constater que la population de dauphins présente dans les parcs zoologiques européens :

  • Est en légère augmentation chaque année 
  • Est autosuffisante (pas besoin d’intégrer de spécimens venant hors de l’Europe). 
  • Conservera la diversité génétique de la population d’origine pour les 200 prochaines années. 

Dans certaines régions du monde, des dauphins sont prélevés en milieu naturel et dès 2007, l’Association Européenne pour les Mammifères Marins (EAAM), dont fait partie Planète Sauvage, a décidé de dénoncer les pêcheries de dauphins comme celles organisées chaque année dans la baie de Taiji.

Idée reçue n°11 : "Les dauphins vivent moins longtemps dans les parcs marins que dans le milieu naturel !"

Il ressort des études scientifiques sur les populations sauvages de dauphins, que l’espérance de vie d’un dauphin, à savoir l’âge que peut espérer atteindre la moitié des individus d’un groupe donné, dépend de la population étudiée.

Une étude scientifique menée en 2011, comparant plusieurs populations de dauphins sauvages a montré que l’espérance de vie la plus basse, était de 9 ans dans l’estuaire du Mississipi et de 17 ans et demi, pour les dauphins de la Baie de Sarasota.

  • Certains individus peuvent néanmoins atteindre des âges avancés comme pour Niklo, une femelle décédée à environ 64 ans !

Les dauphins vivants en parcs zoologiques bénéficient d’une attention particulière et d’une nourriture de qualité constante, et tout comme pour d’autres espèces, ils voient leur espérance de vie logiquement augmenter. Elle est d’environ 30 ans pour le grand dauphin avec une proportion plus importante d’individus âgés de plus de 40 ans que ce qui est observé dans la nature. 

  •     Nellie, une femelle née en parc zoologique est décédée à l’âge de 62 ans

Idée reçue n°12 : "Les dauphins participent aux activités proposées par les soigneurs pour avoir leur ration de poisson !"

Les dauphins de Planète Sauvage répondent à plus de 200 comportements, tous appris par le jeu et l’encouragement. La méthode utilisée, le conditionnement opérant, est une méthode naturelle d’apprentissage qui consiste à associer un progrès réalisé avec une sensation agréable. Cette approche peut se résumer ainsi : tout comportement, s’il est directement suivi d’une sensation agréable aura tendance à être proposé plus souvent. En somme, il est important de toujours savoir dire « bravo et merci », quand l’animal répond aux attentes du soigneur animalier.

Cette méthode fonctionne avec toutes les espèces animales (exemple en vidéo avec les guépards) et a l’avantage de créer un lien de confiance entre l’animal et son soigneur, de laisser à l’animal le choix de participer ou non, à chaque instant, et lui offre une stimulation intellectuelle et physique.

Les animaux ne sont en aucun cas privés de nourriture. Chaque jour l’équipe de soigneur prépare la ration de chaque individu selon ses particularités (taille, poids, saison, femelle en gestation etc...), et chacun aura eu en fin de journée la ration correspondante, qu’il ait ou non eu envie de participer aux jeux proposés par les soigneurs.

Idée reçue n°13 : "L'eau des bassins est pleine de chlore mauvais pour les dauphins !"

Les 8 millions et demi de litres d’eau salée de la Cité Marine sont nettoyés en 4 heures grâce à un ensemble de pompes qui tournent en permanence. L’eau est aspirée et passe d’abord dans des préfiltres qui vont retenir les plus grosses matières (feuilles, petits branchages) pour ensuite passer dans 19 filtres à sable. Ces derniers vont purifier l’eau en retenant les particules en suspension (micro algues, matières fécales). Afin de débarrasser l’eau des germes potentiellement dangereux pour les dauphins tels que les microbes, les virus ou les micro champignons, on ajoute en sortie une faible quantité de javel au goutte à goutte. Cette javel présente l’avantage d’avoir une action de fond dans les bassins (la rémanence) et de ne pas présenter de conséquences pour les dauphins. En effet les quantités sont les mêmes que celles utilisées dans … l’eau potable. 

Le saviez-vous ? Le génome des dauphins est caractérisé par l’absence d’un gène utile dans la réponse immunitaire aux virus que l’on trouve chez les autres mammifères. Ils sont donc plus sensibles aux virus. 

Idée reçue n°14 : "Il est impossible de faire avancer la recherche scientifique en parc zoologique !"

Les parcs zoologiques participent de manière active à la protection des espèces par le biais de :

  • programmes de conservation et de recherche, appelés EEP et ESB
  • la diffusion d'informations auprès de leurs visiteurs sur les grands enjeux de notre planète 
  • la récolte des fonds qui permettent de financer de nombreux programmes de conservation dans les pays d’origine des animaux : préservation, protection, dénombrement des spécimens restants d’une espèce, création de réserves, lutte contre le braconnage, etc 
  • la réintroduction : Entre 1956 et 2014 : les zoos européens ont participé à 260 programmes de réintroduction concernant 156 espèces. Plus d’une cinquantaine d’espèces ont ainsi été réintroduites dans la nature dans les cinquante dernières années (Oryx d ’Arabie, Tamarin-lion du Brésil, cheval de Przejwalski, bison Américain, Outarde Canepetière, etc)

L'Union Internationale de la Conservation de la Nature (UICN) considère officiellement depuis décembre 2002 les zoos comme des partenaires dans la conservation de la nature.

D’ailleurs, Jon Paul Rodriguez, président de la Commission de sauvegarde des espèces (SCC) de l'UICN alerte dans un rapport publié le 7 octobre 2020 en appelant à une approche de la protection des petits cétacés plus large et plus intégrée, en particulier concernant les dauphins et les marsouins. Il insiste sur la nécessité d’associer les possibilités offertes par les animaux qui vivent hors de leur milieu naturel (ex situ, donc dans des structures comme la nôtre) aux actions de protections des dauphins et des marsouins dans le milieu naturel et ainsi éviter de nouvelles extinctions dans les décennies à venir.

Planète Sauvage est un lieu permettant d’observer dans de très bonnes conditions, une très grande diversité d’espèces sauvages. Depuis plus de quinze ans, nous entretenons un partenariat privilégié avec le laboratoire d’éthologie de l’Université de Rennes II et accueillons des scientifiques du monde entier.

Les thèmes abordés sont nombreux comme :

Les études que nous menons ont permis, entre autres exemples :

Les résultats de ces recherches sont évalués par la communauté scientifiques, avant d’être publiés et présentés en colloques spécialisées.

Le métier de soigneur animalier attise la curiosité, et nous recevons de nombreuses questions sur le parcours à suivre pour prendre cette voie professionnelle. Voici les réponses aux questions les plus fréquentes que nous recevons sur ce rôle majeur en parc zoologique.

Qui est en charge des animaux sur le parc ?

Un établissement qui veut présenter au public une espèce de la faune sauvage, doit avoir dans son équipe un titulaire du certificat de capacité pour cette espèce. Ce certificat s’obtient après présentation d’un dossier et passage devant une commission de spécialistes au ministère de l’écologie. 

Le titulaire : 

  • Garantit la sécurité des animaux et des visiteurs 
  • Veille au respect du bien-être des animaux, dont il a la charge
  • Organise les équipes de soigneurs animaliers pour fournir aux animaux tout ce dont ils ont besoin.

Comment devenir soigneur ?

Il existe en France plusieurs écoles formant au métier de soigneur animalier en parcs zoologiques. Elles préparent les futurs candidats à : 

  • comprendre les besoins des animaux sauvages 
  • maitriser les compétences techniques nécessaires à l’entretien des installations 
  • répondre aux questions des visiteurs sur la faune 
  • aborder le cadre légal se rapportant aux animaux sauvages. 

https://www.lycee-saintandre.fr/formation-continue/soigneur-animalier-en-parc-zoologique 

https://www.animapole.fr/parcs-zoologiques/

https://www.mfr-carquefou.com/metiers-animaliers-parc-zoologiques/ 

https://formation-pro.ac-2v.fr/soigneur-animalier-en-parc-zoologique/

https://www.animapole.fr/parcs-zoologiques/

https://www.etablieres.fr/agriculture-environnement-sante-animale-agriculture-animaux/soigneur-animalier-qualifie

D’autres soigneurs sont issus de formations universitaires en zoologie, éthologie ou biologie des populations. 

Les soigneurs animaliers sont-ils bénévoles ?

Les personnes qui ont la charge d’apporter aux animaux tout ce dont ils ont besoin, sont appelés soigneurs animaliers. Ils ont suivi des formations solides en zoologie, soit en école spécialisée soit au cours de leur cursus universitaire. C’est un métier à part entière. 

Travailler avec des animaux nécessite :

  • un grand investissement 
  • des aptitudes techniques et zootechniques 
  • des amplitudes horaires importantes 
  • une présence les week-ends et les jours fériés. 

Combien êtes-vous de soigneurs à Planète Sauvage ?

Plus de 40 animaliers consacrent leurs journées à apporter à tous les animaux du parc ce dont ils ont besoin en matière d’alimentation, propreté et bien être. Leur action est secondée par les visites régulières d’une équipe de 4 vétérinaires spécialisés.

Peut-on faire un stage chez vous ?

Nous accueillons régulièrement des stagiaires qui souhaitent se former à un des nombreux métiers qui s’exercent au sein de notre parc (animalier, électricien, pédagogue, chercheur, spécialiste du traitement de l’eau, menuisier, paysagiste, agent d’accueil, commercial). 

Il suffit de nous faire parvenir une lettre de motivation où apparait votre souhait d’orientation professionnelle ainsi que votre CV. Si vous souhaitez plus simplement avoir un aperçu du métier de soigneur animalier en parc zoologique, nous vous proposons de faire une de nos activités de découverte Soigneur d’un jour.​

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